Rien n’est plus...

Les élèves par groupe de 3 ont élaboré un texte avec leur institutrice sur le principe de phrases (une chacun) qui commençaient par «Rien n’est plus…» et qu’ils devaient compléter selon leur sensibilité. 

Une quatrième phrase, commençant de la même façon, faisait la synthèse des différents composants, provoquant des rapprochements inattendus ou farfelus, mais laissant également transparaître (souvent sous l’apparente absurdité du collage) des combinaisons plus subtiles que ce qui avait été exprimé dans les trois phrases précédentes (principe de l’écriture automatique des surréalistes).
Les enfants devaient ensuite prélever dans l’Encyclopédie Diderot/D’Alembert les images représentant leur lexique, puis réaliser une composition visuelle par collage de ces dernières.
Production d’un livre rassemblant l’ensemble des travaux.